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Sélection et importation de vins fins
Pessac-Leognan Logé en caisse bois d’origine de 6 bouteilles 75 cl Jean-Marc Quarin 90 | Terre des Vins 91-92 | yves Beck 88 Disponible dès avril 2024
30.16 CHF (28.00 CHF HT)
Terre de Vins 91-92 www.terredevins.com Le cabernet signe le nez avec ses arômes de poivron et de fruits noirs, un peu poivrés. C’est un vin de plaisir avant tout, fluide, présentant un bel équilibre entre son arête acide et une légère sucrosité sur des saveurs de groseille assez nettes en milieu de bouche. Un vin très agréable.
Jean-Marc Quarin 90 www.quarin.com Couleur sombre et vive. Très beau nez, au fruité pur, mûr et particulièrement aromatique. qui rappelle Margaux, mais aussi Pomerol. Délicat en entrée de bouche, très savoureux au milieu, le vin évolue juteux, sur un corps fondant et une minutie tactile noble. Très belle finale distinguée et savoureuse. Une réussite. Assemblage : 60 % cabernet sauvignon, 30 % merlot, 10 % cabernet franc, 7 % petit verdot. Degré d’alcool : 13° – pH : 3,7. IPT : 74. Rendement : 35,5 hl/ha.
Yves Beck 88 points www.yvesbeck.wine Dégusté le 18.04.2022 par Yves Beck 60% Cabernet Sauvignon, 30% Merlot, 10% Petit Verdot Bouquet fruité et épicé révélant également des nuances de torréfaction. En bouche le vin est friand et légèrement crémeux. Ses tannins sont veloutés, bien intégrés et en phase avec une fine structure acide. Un vin équilibré et rafraîchissant. 2024-2033
Retour sur le trop méconnu Luchey Halde à Mérignac (Pessac Léognan) Jean-Marc quarin www.quarin.com (août 2018) La complexité d’expression des vins rouges produits à Luchey Halde traduit la présence d’un très grand terroir qu’il aurait été dommage de perdre. A la note fumée typique de la région s’ajoutent des nuances crémeuses sur un fond frais de framboise très étonnant et inconnu sur la commune voisine de Pessac. Le nez de ce vin évoque tantôt Pomerol, tantôt les Graves, tantôt un arôme de fruits noirs retrouvé dans la Syrah. Le comportement en bouche m’émerveille. Le toucher possède la noblesse des plus grands ainsi qu’une douceur de texture inénarrable sans jamais forcer la puissance. J’ai eu le plaisir de regoûter le premier millésime produit avec de très jeunes vignes, le 2002. Pour mon plus grand plaisir, j’ai encore appris quelque chose. La douceur de ce vin n’est pas une faiblesse, mais une composante de sa personnalité. La meilleure preuve est que son expression a progressé depuis mes premières dégustations. S’il s’agissait d’un handicap, ce millésime se serait écroulé. Ce type de discernement n’a pas vraiment cours dans l’appréciation des vins à Bordeaux tandis qu’il est plus populaire dans le jugement des grands crus et premiers crus de Bourgogne.